Après une série de recherches faite sur Internet sur la signification de la Blockchain, la réponse dégotée se rapporte à l’argent. La Blockchain a engendré énormément d’attention du fait de sa technologie de « distributed ledger ». Celle-ci est le fondement de la vente ou de l’achat de cryptomonnaies et autres actifs sur les marchés privés.
Diminuer les frictions dans les transactions commerciales
La gestion des dépenses représente un challenge pour la plus grande partie des organisations. Selon des chiffres d’Ardent Partners CPO Rising (2016) :
- Uniquement 63 % des dépenses sont rattachées à une commande d’achat.
- Moins de la moitié (45 %) des dépenses correspondent au contrat initial.
Les entreprises pourraient mettre au point un réseau Blockchain automanagé pour les partenaires et les fournisseurs. Cela pourrait permettre les paiements instantanés, les expéditions accélérées par l’IoT et la robotisation des contrats intelligents. Faute d’interaction humaine, les informations manquantes et les fautes sont diminuées d’une transaction à l’autre. Par ailleurs, les transactions se font plus vites, car les vendeurs et les acheteurs sont immédiatement rattachés.
Privilégier les marchés autonomes
La Blockchain donne l’occasion aux propriétaires d’actifs d’accompagner et de remplacer des éléments financiers tels que les factures impayées. Le procédé se passe dans une « chaîne » de transactions transparentes, privées et sécurisées. Cela permet de faire monter la vitesse de traitement et d’adjoindre de la flexibilité à la gestion des actifs et de la trésorerie. À titre d’exemple, avec les factures découlant d’application ERP, les entreprises pourraient avoir promptement les fonds utiles.
Elles peuvent aussi activer le flux de trésorerie en cédant leurs factures sur un marché autonome d’affacturage. Celui-ci est nommé en anglais « autonomous invoice-factoring marketplace ». Essentiellement, fonder une transaction sur la Blockchain supprime la nécessité d’une surveillance par une tierce partie. En effet, la technologie elle-même propose un cadre ouvert et contrôlé qui est constatable par l’ensemble des participants de la transaction.
Manager de manière sécurisée et décentralisée les dossiers par un chiffrement
L’une des spécificités basiques de la Blockchain est que chaque composant (ou donnée personnelle) est numéroté. Ordinairement, les industries se fient à des tiers pour préserver les bases de données par des mesures de contrôle d’accès et de pare-feu. Cette pratique n’est pas parfaite comme le prouvent de courantes atteintes à la préservation des données très diffusées par les médias. Chaque donnée est numérotée et sécurisée avec la clé de divers collaborateurs. Cependant, un cybercriminel pourrait accéder à chaque clé de chaque membre pour entrer dans l’ensemble des données de la Blockchain.
Cela ne signifie pas que la Blockchain garantit entièrement la certitude des données. Néanmoins, elle peut sûrement soutenir dans la lutte contre l’exposition d’un nombre important de documents privés. Le dossier de l’étudiant ou de l’employé représente un exemple tangible. La certification de récentes qualifications, postes de travail ou notes, selon qu’ils sont acquis peuvent y être intégrées. Elle est effectuée par les établissements d’enseignement, les employeurs et même les organismes professionnels.